Légitime défense politique.

Machinations mafieuses et sectaires combinatoires des « Illuminés pervers » contre la sûreté de l’État de France, en relations avec des tentatives et crimes consommés contre l’humanité.

Posted in Uncategorized by Dietrich13 on 20 décembre 2017

20/12/2017. Éclaircissement complémentaires et récapitulatifs sur les machinations mafieuses et sectaires combinatoires des « Illuminés pervers » contre la sûreté de l’État de France, en relations avec des tentatives et crimes consommés contre l’humanité.

Aux Messieurs les juges d’instruction et Procureurs de la République chargés de l’information de la complicité par aide et assistance et fourniture des moyens au grand banditisme meurtrier du DAECH, ses actes terroristes instrumentalisés dans le cadre du complot journalistique et judiciaire contre la sûreté de l’État de la France, et, au Conseil constitutionnel et juridictions nationales et internationales légalement compétentes.

De M. Peter DIETRICH. Diplôme des Études approfondies de Droit privé de l’Université Sorbonne-Panthéon de Paris. Certificat des Études universitaires des Sciences pénales et de Criminologie. Adjudant honoraire du Service de Santé des Armées. I.D.E. Médaille militaire, Croix de Valeur militaire, Croix de combattant. Demeurant au 80 rue Voltaire, 93120 La Courneuve.

Dénonciation publiée sur http://dietrich13.com, et, https://www.facebook.com/dietrich13peter.

Comme je l’ai à mainte fois précisé, mes déclarations ont la valeur des témoignages « à charge ou décharge » sous peine de nullité d’ordre public et générales des procédures d’en tronquées. Les magistrats doivent en tenir compte sous peine de forfaiture criminelle de partialité. Dans le complot contre la sûreté de l’État, tous les composants criminels exposés de longue date sont indivisiblement liés. Le ministère public, ‑ je ne cesse de lui le répéter ‑, est indivisible et unique en France, si bien que la totalité de mes exposés sont censé d’être produites dans toutes les procédures connexes au complot en France. Et comme « nul n’est censé d’ignorer la loi en France », les procureurs de la République et les juges d’instruction sont censé d’avoir connus, avant même que je les ai produites, mes savantes constructions juridiques basées sur des faits notoires, jamais contestées en justice.

Répétons-le, lorsque j’ai été manœuvré, pistolet P 38 9 mm parabellum à la ceinture, par les services secrets de l’Armée en « commando d’action spécial endurcie » à travers quatre universités de droit contre ce complot contre la sûreté de l’État pour en saisir la Haute Cour de justice créée 1958. Une conjuration mafieuse et sectaire contre la république démocratique m’a branché en parallèle ce « juge rouge » Jacques Bidalou et son traitreux avocat Jacques Vergès. À Toulouse, par leur turpides sournoiseries « des amis qui cherchaient mon bien », ce tandem pervers, flatteusement médiatisé, m’a fait anéantir en 1981. Mais auparavant déjà, j’ai réussi de saisir le Comité des Droits de l’Homme de l’ONU de quelques actes de ce complot historique contre l’humanité.

Contre toute attend, j’ai réussi de m’évader en slip de la cellule de haute sécurité psychiatrique de la forteresse de Cadillac, a pu reprendre les études de droit et les procédures judiciaire à Paris. Par des subtiles manœuvres, les services secrets de l’armée ont réussi de m’installer à Aubervilliers (93), proche de Paris, après de longues et humiliantes recherches d’un minable logement au bas loyer.

Derechef, le « juge rouge » Jacques Bidalou s’est arrangé de se faire suspendre de la magistrature pour se brancher en parelle sur mes actions judiciaires « en ami qui cherchait mon bien ». Ayant pris la suite de la Confédération nationale des Associations de Défense des Victimes de la Justice créée par moi à Toulouse, avec son SYDICAT DES JUSTICIABLES, médiatisé en héros par un cercle des avocats et intellos pervers, ses manigances criminelles protégées par les magistrats nazis de l’Association professionnelle des Magistrats implantés aussi à cet effet au TGI de Bobigny 93, ce « frère insinuant » a noyautée et manipulée en France toutes les associations de défense des victimes de la justice. Je ne sais pas comment les services secrets se sont arrangés pour que je me trouve implanté, à mon insu d’abord, juste à 300 mètres du Restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers, de l’officine du « juge rouge » Jacques Bidalou, de son SYNDICAT DES JUSTICIABLES : le lieu de rendez-vous de tous les présidents des associations de défense de la France, leurs victimes de justice dupées, fourvoyées dans l’abattoir judiciaire, des journaleux ordurier, écrivassiers et agitateurs de toutes poils, des militants « rouges-bruns », des gourous des mainte sectes et des mafieux, somme toute des rats d’égout spécialisés dans la subversion criminelle au profit de l’extrême droite.

Dès lors, par mes dénonciations congrues, s’impose à une justice équitable et impartialeRoccard Saisi du dosser SAC et Papon.
la recherche des personnalités influentes qui tirent les ficelles dans les coulisses, les instigateurs derrière cette organisation subversive pour en tirer le plus grand profit. L’ancien premier ministre Michel Rocard, je l’ai déjà dénoncé. Lorsque j’ai diffusé sur le Web auprès de ses militants gauchistes les preuves qu’il a marchandé, ‑ comme plus tard le généralissime Marcel Bigeard ‑ mes dossiers chez les Crésus des sociétés multinationales pour subtiliser son ministère, Rocard ce perfide simulateur, lors des campagnes électoraux en 2016 a subitement claqué en pleine élan de médisance et de dénigrement calomnieux du Président de la République François Holland.

Mais il est de notoriété publique, bien suivie par le ministère public, l’étroite alliance de l’avocat Me Rolland Dumas avec toute cette clique d’avocats saboteurs de la justice, de ceux qui ont, à partir du Restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers, ratissé en France les dossiers affaires politiquement sensibles par la manipulation mentale des victimes plaignantes, ensuite transformées en propagandistes enragés par l’intox et la désinformation journalistique.

Pour aguicher des plaignants avec leurs dossiers sensibles, sur YouTube et autres sites du Web, surabondent des clips et scoops élogieux, accréditant la bande des maîtres félons Dumas, Verges, Gilbert Collard… et aussi pour Maitre escroc William Bourdon. Je les ai torpillés intensivement jour et nuit lors de la campagne électorale vers 2015.

Dans la recherche de paralyser le cours de la justice par l’association de malfaiteurs aux abois, devient extrêmement intéressant l’attaque du Président du Conseil Constitutionnel Laurent Fabius. Et avec cette « personnalité demi-mondaine » de l’avocat Rolland Dumas, ce célèbre « franc-maçon controversé », impliqué dans les détournements massifs de la société encore national Elf-Aquitaine, naguère dans les mains de l’ancien ministre de Justice Albin Chalandon. Comment, la vermine de mafia sectaire des illuminés pervers a-t-elle réussi de parasiter la tarte à la crème Elf Aquitaine de la droite, pour financer, avec des coffres de voiture remplis de billets de banque, mon élimination avec ma science et mes dossiers, ainsi que les sabotages judiciaires criminels de l’avocat félon Jacques Verges.

Jamais un juge ne s’est sérieusement posé la question sur l’important financement de cette coalition des Illuminés pervers, instrumentalisée de la mafia du ministre de l’Intérieur et Sénateur Charles Pasqua avec son lieutenant-colonel Yves Chalier. Ce spécialiste militaire de la guerre psychologique a été formé au Brésil par la Mafia au combat en malfaiteur contre l’adjudant Peter Dietrich. L’escroc de haute volée en ministre de Justice Jacques Toubon de Grenoble et autres ministres fantoches, dans l’affaire Elf-Aquitaine, sont tous dédouanés de la Haute Cour de justice par le crime judiciaire organisé de la « suppression » de mes actes de procédures par la juge d’instruction à Paris Eva Joly, leur ancienne roulure norvégienne pistonnée. Cette pétasse dévergondée est sortie du milieu des camés de la Côte d’Azur. Alors qu’elle ne disposait même pas les qualifications universitaires requises, Eva Joly est catapultée magistrat par le mariage d’un jeune boutonneux séduit de la bonne société, ‑ suicidé ensuite. La médiatique roulure ambitionnait même la présidence de la République de la France, finissait en débutée du Parlement européenne.

C’est que la conjuration des Illuminés pervers contre la démocratie avec leur Nouveau Testament de Satan, est organisée en cercles ultra-secrets. Leurs « frères insinuants, qui doivent être tantôt les plus imbéciles et tantôt les plus ingénieux des frères », infiltrent de préférence la Franc-Maçonnerie pour l’instrumentaliser aux fins de la manipulation, selon les percepts et le crédo du NOUVEAU TESTAMENT DE SATAN de l’érudit chanoine Jésuite Adam Weisshaupt, professeur allemande en droit. Tous ceux qui se sont servis du « juge rouge » Jacques Bidalou pour attribuer à leurs publications des calomnies subversives le crédit d’un magistrat, épousent parfaitement le profil des « Illuminés pervers » pour lesquels « le Bien est le Mal », et le Mal est le suprême des Biens pour le Sage avisé.

***

[Découvert tardivement par accident en Bavière en Allemagne, sans doute les Illuminés pervers ont corrompu le général Napoléon Bonaparte, pour anéantir les droits de l’homme et la Première République démocratique. L’artisans a été le monument de la corruption, le débauché évêque Ch. M. de Talleyrand. À ce plus traitreux des hommes politiques sous la Révolution française, menacé d’emprisonnement à cause de ses énormes dettes de jeu, le Vatican par un accord secret lui a remis les fonds en échange de mener le général Bonaparte à se faire sacrer Empereur en 1804 par le Pape Pie VII pour la restauration de l’hégémonie de l’Église catholique en France par le Concordat. Malgré la remise en 1944/45, en Préambule de la Constitution, de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, la justice reste toujours saccagée par le régime impérial de la dictature césarienne de Napoléon I.

Le président de la République François Mitterrand n’a pas réussi de réaliser son engagement électoral en 1981, d’établir la situation de la légalité constitutionnelle en France. La cause : des turpitudes du Senat corrompant avec la Légion d’honneur la Première Président la Cour de Cassation Simone Rozès, et, de la trahison de ses proches collaborateurs corrompus, dont le Premier Ministre Michel Rocard, son ministre de Justice, l’avocat Robert Badinter, et son ministre des affaires étrangères, l’avocat Rolland Dumas. Ce sont eux les principaux responsables de mon élimination en 1981/82 par l’arrestation illégale suivie de la tentative d’assassinat, manigancées par leurs conjurés ad hoc : l’avocat Jacques Verges et le « juge rouge » Jacques Bidalou, conseiller juridique appointé du littéraire ordurier, le millionnaire Jean-Édern Hallier, se présentant en « capitaine » de son cercle des conjurés de l’illumination perverse.

Les sinistres de l’histoire se répètent toujours avec l’abêtissement scolaire du « peuple imbécile » (Voltaire) « en dépravés », selon les préceptes du Nouveau Testament de Satan. À ce funeste destin, l’Académie française est créée sous Louis XIII par le cardinal Mazarin, Premier Ministre, « mettant les intellectuels aux pas sous uniforme et en armes ». Sous Louis XIII, dans les années 1640, la Bibliothèque royale, ‘nationale’, fut expurgée de tout écrit témoignant des ignominies de l’aristocratie germanique proclamée ‘hommes-dieux’ franques, des déprédateurs conquérant l’Occident. La culture est expurgée des ignominies barbares historiques : l’inspiration du scélératisme politique de Machiavel et le Nouveau Testament de Satan. Sous l’autorité de l’Académie française, l’histoire fut réécrite, fabulée pour la mettre par les laudateurs en conformité aux mythes de l’idéal de la chevalerie chrétienne. L’institution des laudateurs supprimée par la Révolution, l’Académie française fut restaurée par l’empereur Napoléon I pour poursuivre la falsification systématique de l’histoire.

À la Libération 1944/45, l’Académie française fut maintenu pour falsifier l’histoire (Alain Peyrefitte et autres de la Légion d’honneur), pour dissimuler au « peuple imbécile » la haute trahison de l’armée française, ‑ et dont le colonel Charles de Gaule à Londres en a été un petit artisan.

Par la falsification de l’histoire, l’Académie française a préparé les esprits à la Deuxième Guerre mondiale (Charles Maurras, théoricien du nationalisme intégral et de la réduction à l’esclave du peuple par l’aristocratie germanique).

L’Académie française a préparé à la Libération de la France les esprits à l’organisation de la Troisième Guerre mondiale projetée en 1943 à Strasbourg par les élites Nazis, industriels, financiers, aristocrates, ecclésiastiques. Les historiens, journalistes, littéraires et philosophes de l’Académie française ont miraculé les plus dangereux criminels des poursuites des crime contre l’humanité de la Haute Cour de justice version 1944/45, en accréditant la parodie de justice et en masquant les trucages des affaires Papon, Touvier, Barbie… Occultant mon existence si redoutée au public avec mes congrues et savants interventions judiciaires, l’Académie française a dédouané aux frais du contribuable arnaqué ces miracles politiques, ces scélérats placés même dans les gouvernements du Général Charles De Gaulle, tels qu’en son Premier ministre Jacques Chaban-Delmas du Rotary, ancien du gouvernement de Maréchal Philippe Pétain à Vichy).

Moyennant des juteuses honoraires pour épater la gallérie des douces balivernes mondaines, des craques judiciairement inopérantes contre mes savants arguments, mes sélectes adversaires de la bonne société parisienne, associés à Joseph Choukroum, l’ancien comptable de la bande internationale des assassins en séries, kidnappeurs, des trafiquants et proxénètes, se sont même offert le luxe pour me humilier, moi réduit au silence par le président, mobiliser contre moi en audience publique à Paris mon professeur de droit, l’avocat Me Jean-Denis Bredin, membre de l’Académie française. Cette farce judiciaire a été bien plus profitable à son prestige qu’assurer la direction demandée de ma thèse de doctorat. Aussi mon traitreuse avocat Jacques Verges, dans les machinations judiciaires à Toulon, s’est fait assister dans ses manœuvres médiatiques contre moi et mon ami, le juge d’instruction Henri Pascal, par un membre l’Académie française se mettant en scène dans le hall de l’Académie française dans son uniforme verte et la Légion d’honneur en bandoulière.

***

Les escroqueries judiciaires en bande organisée à partir du Restaurant Piccadilly sont exposées avec précisions, preuves à l’appui, sur la page 3 de mes blogs au titre « Blanchissement du ministre de Justice Albin Chalandon. Le « juge rouge » Bidalou constamment collé à mes côtés, je suis intervenu dans la procédure à l’audience publique devant le tribunal correctionnel de Paris avec un déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de justice. Fur à mesure de la production, Bidalou a récupéré toutes les copies de mes actes de procédures pour les communiquer à la coterie des avocats félons Jacques Verges, Rolland Dumas, William Bourdon et autres. « Un Belge paranoïaque venu expliquer à la cour que le procès Chaumet n’était que la partie émergée d’un gigantesque complot contre la sûreté de l’État ».

Libération 10 octobre 1991 : dans trois lignes dans leur journal, le cercle littéraire des illuminés pervers m’a anéantie, a ruiné mon crédit et mon honneur auprès des associations de défense des victimes de la Justice, jusqu’aux publications de mon association salvatrice vers 2014 avec la merveilleuse cantatrice lettonne Elïna Garanča. Sans son providentielle apparition salvatrice, je serais à présent réduit en état larvaire par la charcuterie des psychiatres et de la neurochirurgie. Dans l’état d’urgence en 2015/16, les services secrets du président de la République François Holland, concomitant au massacre d’Elïna Garanča à l’Opéra nationale à Paris, ont déjoué ma capture en me renseignant d’une manière subtile sur la date et le lieu du traitreux traquenard médical tendu.

Cette équipe des littéraires pervers, sous la direction du millionnaire Jean-Édern Hallier, a migré du journal HUMANITE vers le journal LIBERATION et a repris la publication du journal gauchiste IDIOT INTERNAIONAL pour exalter des simples esprits à l’agitation judiciaire et politique. Ce sont eux qui ont suscité la révolte des étudiants en Mai 68 pour, par la déstabilisation de la présidence de la République du Général de Gaule sauver le Senat de la suppression projetée. Ensuite, les agitateurs rémunérés se sont mis au service des « gangster d’État » tels que Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, Charles Pasqua, Albin Chalandon, Jacques Toubon… pour les sauver des poursuites de la Haute Cour de justice version 1958 avec leurs complices dans toutes les branches du crime organisé du grand banditisme : des hauts magistrats, des grands et petits gangsters, assassins, violeurs pervers, proxénètes et trafiquants du droit commun.

Après une longue traque redevenu opérationnelle contre les comploteurs conte la sûreté de l’État, j’ai fait venir près de Bourges dans le Cher à Paris et branché sur la procédure avec le même déclinatoire de compétence au profit de la Haute Cour de justice M. André Néron et son épouse Gisèle, présidents de l’Association nationale de Défense des Victimes des Notaire. À partir du Restaurant Le Piccadilly d’Aubervilliers, avec le « juge rouge » Jacques Bidalou, ses journaleux pervers et les sabotages judiciaires de leur avocat félon Me William Bourdon, ce couple avec leur association avait été poussé au bord de la ruine suicidaire par la désintégration psychologique calculée par l’intox. Après la trahison, Me Bourdon s’est tiré de l’association avec les dossiers des clients les plus fortunés et avec mes savantes constructions juridiques applicables. Partant de son cabinet minable de l’avocat marron, Maître Bourdon s’est offert un cabinet remarquable dans la partie le plus chic de Paris, (attirant dans son traquenard les victimes du général Pinochet de Chili), s’en lamentaient chez moi les époux Néron pour que je redresse à l’œil leur situation judiciaire totalement galvaudée.

J’ai été manœuvré à leur secours et je les ai sauvés in extrémis du pire désastre du genre de celui que l’avocat Jacques Verges et le « juge rouge » Jacques Bidalou avec ses associations ont manigancé par la manipulation mentale de Pierre Batiste, le flingueur d’avocat dans le tribunal de Poitiers. Juste avant l’audience correctionnel de Paris, le nouvel avocat parisien des Néron, Me Patrice Guénin, est intervenu pour les dissuader de présenter le déclinatoire de compétence et narrer à la place devant les journalistes des stupides balivernes pour les en faire rire. « Mon minable spectacle que selon vous j’ai donné à l’audience dans l’affaire Chaumet à Paris, a au moins eu le privilège d’être écouté alors que le Président a refusé de vous entendre. Quant au Juge Bidalou, notre Association a démarrée grâce à lui, il nous a beaucoup aidé et je ne vois pas pourquoi aujourd’hui je n’aurais pas la même considération contrairement à ce que vous prétendez, je crois fermement que c’est un véritable ami, il se bat comme il entend, c’est son problème… ». Giselle Néron le 26 janvier 1994.

Seul, j’ai poussé la procédure Chalandon/Chaumet jusqu’à la Chambre criminelle la Cour de cassation. Par un faux en écriture, mon recours fur rejetée au motif que je n’aurais présenté aucun mémoire à l’appui du pourvoi, alors que la présentation du mémoire est attestée par le greffier. Et en tout cas, ce que j’ai exposé sur l’incompétence légale, les juges « non censé d’ignorer la loi », auraient dû faire appliquer d’office contre l’ancien ministre de Justice Albin Chalandon et ses complices du complot contre la sûreté de l’état, cela bien avant même que je sois intervenu dans cette procédure à Paris pour le leur rappeler.

J’en ai saisi le Comité de Droits de l’Homme de l’ONU à Genève. Voilà l’affaire est tombée de nouveau dans les sales mains du vicieux maître Rolland Dumas, Ministre des Relations extérieures 1984 à 1986 sous Rocard et des Affaires étrangères de 1988 à 1993, Président de la Commission étrangers de l’Assemblée nationale de 1986 à 1987 ; ministre délégué auprès du Ministre des affaires étrangères, chargée des affaires extérieures. Voilà donc, Rolland Dumas de la coalition « Rouge-Brune », avec mes dossiers de l’affaire Papon jusqu’au aujourd’hui dans l’affaire de la Cimenterie Lafarge avec son grand actionnaire Jean-Marie Le Pen, tient dans ses sales mains du manipulateur-corrupteur les rênes du sort de la politique et de la justice.

Sa coterie d’une mafia sectaire s’est emparée de la société pétrolière Elf Aquitaine et a fait financer à partir du Gabon les machinations judiciaires de son feu ami et allié maître Jacques Verges et toute la clique des illuminés pervers rouge-brun, dont maître William Bourdon. Ce manipulateur des illuminés pervers cherche à présent de dévier les responsabilités de l’extrême droit dans financement des terroristes par la cimenterie Lafarge contre le président du Conseil constitutionnel saisie de la totalité des mes dossiers relatifs au complot contre la sureté de l’État. Et qui se trouve derrière l’avocat Boudon avec la fourniture des renseignements tendancieuses sur les activités vraies ou faux du gouvernement ? En toute évidence le mieux renseigné : son commanditaire conspirateur aux abois, l’ancien ministre Rolland Dumas auquel j’ai aussi un petit mot à dire devant la Haute Cour de justice reconstituée.

Il est de l’histoire certaine que le militaire négociateur de Lafargue avec le Daech est un002 Victimes des terroristes.
des séides du plus important actionnaire, à savoir du leader nazi Jean-Marie Le Pen, humilié par mes torpillages de son délirante propagande électoral, en association de la sublime cantatrice Elïna Garanča, échappée de peu en 2016 à l’opéra nationale de Paris au massacre par les terroristes instrumentalisés. Mais les trouvailles poursuivies contre Lafarge, ce ne sont que des questions de détail dans la complicité intégrale des crimes du grand banditisme des brigands du Daech par les spéculateurs de la haute finance et de l’industrie. Un million de dollars par jour leur ont été versé, dont par des sociétés pétrolières. C’est à savoir si la société Elf faisait partie des complices, comme le holding Lagardère avec dans son conseil de surveillance le grand actionnaire profiteur, le maçon affairiste, le président de la Cour d’appel de Paris Jean-Claude Magendie. En spéculateur, il a laissé poursuivre ces sabotages judiciaires, notamment de l’affaire Papon, en supprimant mes dossiers présentés sous menaces de mort à son greffe du TGI de Paris.

Comme je l’ai publié dans le monde entier, en droit pénal français, le complice épouse intégralement la criminalité des auteurs. La loi en France exige, comme habituellement contre les criminels du droit commun, que les qualifications pénales les plus graves soient retenues aussi contre les complices : assassinats de masse, torture et viole des enfants…

La pratique est jugée illégale par la jurisprudence de principe de la Cass de la « correctionnalisation » des crimes du beau linge de la haute société, des spéculateurs enrichis par l’organisation des massacres des élites des crétins exaltés des paranoïaques délirantes, massacres des femmes et des enfants. La correctionnalisation de ces crimes dans l’affaire Lafarge à Paris constitue un nouvel attentat contre le régime constitutionnel de la démocratie égalitaire, une continuation du complot judiciaire contre la sûreté de l’État.

D’autre part, pour la sûreté de l’État et des particuliers, il serait bien plus intéressant de connaître tous les détails sur l’émissaire hautement qualifié dans le manigances des combines secrètes des attentats, du séide « militaire » émissaire chez le Daech dans l’affaire Lafarge, que celles étalées de longues en large par les médias sur le petit truand jeté à la pâture du verdict publique par la violation du secret d’instruction. Il serait bien plus intéressant d’adjoindre au juge d’instruction de Paris deux autres juges d’instruction et quarante enquêteurs, qu’à Grenoble dans cette affaire des artifices médiatique du sensationnalisme judiciaire, créatif du montage d’un écran de fumée devant l’exonération des instigateurs en France des massacres qualifiables crimes contre l’humanité.

Ici à Grenoble, à cet insignifiant truand, les juges n’ont pas hésité d’appliquer des qualifications pénales les plus graves, alors il n’existait contre l’accusé que des inadmissibles charges truquées. Ridiculisé, ces magistrats survoltés entreprennent déjà à lui monter une autre affaire, semblable à l’affaire montée naguère contre l’adjudant-chef Pierre Chanal à Mourmelon sous la direction de l’ancien ministre de Défense François Léotard. Trempé à Toulon dans l’assassinat de la députée Yann Piat, Léotard a fait disparaître ses dossiers sur ses appointements par Mafia. Des médiatiques machinations judiciaires, combinées rien que pour me discréditer auprès du public par des personnes interposées tirées dans la boue, lorsque que j’étais intervenant avisé dans l’affaire du Sang Contaminé en « témoin à décharge », et aussi intervenant maté par les juges prévaricateurs à Draguignan, Grenoble, Lyon et Toulon dans les sales affaires criminelles du ministre de Défense Léotard et des parlementaires, liées à la Mafia de la Côte. (Page 13 des blogs).

Pour la Mafia comploteuse de Grenoble, l’insignifiante affaire de l’enlèvement de laMenace indirecte d’Elina Garança, en associée de Dietrich humiliante..jpg
gamine Maëlys, est devenue un enjeu vital. Pour empêcher la libération en raison des charges truquées du petit gars accusé au conditionnelle, devant le risque de l’humiliation publique, les magistrats et leurs coalisés des médias lui ont rapidos montée une autre affaire au conditionnelle, gageant, vu les rapports des forces, que jamais je ne serai remis dans le circuit judiciaire pour revendiquer la nullité intégrale de toutes ces procédures grand spectacle visant de jeter le discrédit sur mon existence, de mon honorabilité et de ma science.

Là dans l’affaire du Sang contaminé, devant la Cour fantoche de Justice de la République, j’ai déjà démontré l’innocence de l’ancien Premier ministre Laurent Fabius et de son gouvernement déstabilisé par des imputations manifestement diffamatoires, fomentées par cette même conjuration subversive des Illuminés pervers, alliée aux mafieux du gangstérisme d’État. Mes argumentaires incontestables ont été éliminés par des crimes de suppression des actes de procédures et des faux en écriture publique jusqu’à l’Assemblée plénière de la Cour de cassation. Lorsque j’ai démystifié ces escroquerie judiciaires combinatoires sur mes blogs, j’ai reçu l’avis de décès prématuré du président Christian Le Gunehec, récompensés jusqu’au Commandeur de la Légion d’honneur de ses innombrables forfaitures de faux en écriture depuis 1982 à mon détriment et celle de la sûreté de l’État de la France.

[Sur l’affiche, menaces indirectes dirigées contre ma gracieuse alliée salvatrice de la Lettonie, la cantatrice d’opéra Elïna Garanča. Cette star a plongé le parti nazi dans le discrédit et la honte en rétablissant mon crédit et mon honneur : « avec le T.G.V. (train à grande vitesse), elle aurait souffert moins »].

Tant que la situation légale n’est pas rétablie, tant que les saboteurs de la justice continuent d’être appointés par des fonds publics et privés, détournés en toute impunité, tant que je reste écarté des procédures avec mes commentaires avisés et experts d’un victime et d’un « accusé » d’actes de légitime défense, tant que les attraits de l’impunité la corruption et du trafic d’influence persistent, il n’est pas possible qu’une procédure quelconque puisse se dérouler en conformité de la loi en France.

Sauvé d’un destin cent fois pire que la mort par l’extraordinaire association avec ma divine Fée salvatrice Elïna Garanča, mon crédit et mon honneur rétablis par elle, assisté de son exquise aura féminine d’une grande star d’envergure internationale, sans mon intense intervention sur les réseaux sociaux du Web contre les manipulations et l’intox subversives durant la campagne de l’élection présidentielles, les nazis auraient conquis haut la main au premier tour de l’élection la présidence de la République en France, l’avocat Gilbert Collard intronisé ministre de Justice. Mais par ricochet par les trucages des affaires Papon et du dédouanement des assassins du député Jean De Broglie, d’autres élections sont manipulées par les escroqueries judiciaires des faussaires de la Cour européenne des droits de l’homme, ‑ assistés par le Comité des Droits de l’Homme de l’ONU.

Gageons, sans la falsification de l’histoire sous l’égide des trucages quarantenaires des procédures sur les crimes contre l’humanité imputés à tort et à travers à Maurice Papon à Bordeaux, jamais Donald Trump aurait été élu aux USA, ni les Nazis rentrés aux postes clefs dans le gouvernement d’Autriche : ministre de l’Intérieur, de Défense, des Affaires extérieurs.

***

L’association extraordinaire avec la merveilleuse Diva d’opéra, avec la gracieuse lettonne Elïna Garanča, nous a apporté le témoignage d’amitié du monde entier de milliers et milliers d’admirateurs. La bonne nouvelle se répandait comme une traînée de poudre dans le monde entière. Pour démystifier aux observateurs l’instrumentalisation des attentats, les stratèges qui me télécommandent, en connaissant la préparation du massacre à Paris au « magique » vendredi 13 novembre 2015, m’ont télécommandé de retarder juste quelques minutes après minuit, l’envoi par e-mail de ma bombe judiciaire à l’ONU à New York. (Cette nuit-là, en signe d’avertissement, a été abattue à Paris l’inconnue Mlle Silvie Dietrich).

Les anciens Romains le savaient déjà que dans la lutte politique, les artistes pèsent beaucoup plus lourds que les savants. Comme je riais de leurs menaces, les instigateurs ont essayé de faire massacrer Elïna Garanča avec la foule dans l’Opéra national au début 2016, dans un plus grand spectacle médiatique. Mais le Président de la République François Holland, pour faire échapper l’affaire aux juges français archi-pourris, a fait arranger par ses services secrets que le chargement des fusils d’assaut, des grenades à main et d’explosifs soit saisi par la police de Munich en Allemagne.

Déjà l’Amiral Pierre Lacoste des services des services de contre-espionnage de l’armée a dénoncé ce danger du lobbying international. Sur la scène internationale, je suis combattu par une horde d’avocats payés avec ostentation à un million de dollars l’heure, facturant quatorze heures par jour, se déplaçant avec des jets privés de luxe coûtant plus de 50 millions dollars. Conformément à la Loi fondamentale internationale, je réclame à l’ONU et à la Cour de Justice de l’Union européenne d’indemniser au double l’action salvatrice d’Elïna Garanča. Sa ravissante action constante est bien plus efficace pour la sauvegarde de la légalité dans le monde que les sales combines dans les coulisses de ces avocats corrupteurs, suborneurs et trafiquants d’influence, pourrisseurs de la justice nationale et internationale.

***

Que des amis…. On le savait bien sûr…mais ceci dit, c’est très intéressant ! Déplacer la souris sur une société et vous allez voir ses ramifications ! Mais pas tout le reste… On comprend mieux ce tentacule qui se partage le monde !

http://www.alternatives-economiques.fr/fic_bdd/article_pdf_fichier/1274372604_cac40_3.swf

Liens entre entreprises.

 

Neron Beaucoup travailé Mémoire qualité

 

 

Commentaires fermés sur Machinations mafieuses et sectaires combinatoires des « Illuminés pervers » contre la sûreté de l’État de France, en relations avec des tentatives et crimes consommés contre l’humanité.